Casino légal en France
Jouer au casino en ligne sur les sites agréés de jeux d'argent autorisés par la France
Quand la doxa du jeu pathologie maladie se déchaine contre les casinos en ligne
Quand la doxa du jeu pathologie maladie se déchaine contre les casinos et les machines à sous en ligne, pour influencer « les politiques » et « l'opinion » :
"Il sera toujours aisé aux imposteurs de faire des dupes" (Casanova, Mémoires, 1725-1756, Tome 1, La Pléiade, NRF, 1958, page 427)
• Sociologue (Université
Lumière, Lyon II)
• Chercheur associé au Centre Max Weber (CMW) UMR 5283 (2016 à 2019)
• Membre suppléant et rapporteur à la Commission Nationale des Sanctions (CNS Paris Bercy) (2013 à 2018)
• Agent de l'Etat Chargé d'étude à l'Autorité de Régulation des Jeux en
Ligne (ARJEL , Paris) (2011 à 2015)
• Observatoire des jeux : Président fondateur de l'Observatoire des jeux ( ODJ) fondé avec Marc Valleur (Directeur du centre Marmottan) et Christian Bucher (psychiatre)
Contact : Jean-pierre.martignoni@univ-lyon2.fr
Résumé : Retour critique sur une tribune provocatrice sur les casinos en ligne, publiée par l'addictologue Jean-Michel Costes, premier signataire de cette diatribe collective parue dans Le Figaro : « élargir les jeux d'argent en ligne, c'est encourager une drogue » Dans ce pamphlet, les machines à sous sur internet sont qualifiées de « crack-cocaïnes des jeux d'argent » JM Costes donne ensuite une description apocalyptique et délirante de ce jeu et des joueurs qui s'y adonnent: « le jeu sur machine à sous est une véritable drogue , les joueurs sont comme pétrifiés, incapables de quitter les machines, totalement pris dans le rythme du jeu qui atténue leur conscience de l'espace , du temps et de la valeur même de l'argent. Ils ne prennent conscience des pertes qu'après coup, une fois l'excitation du jeu retombée et alors (…) ils s'effondrent envahis d'idées suicidaires. Quand on sait que cet addictologue (licencié de l'observatoire des drogues par Etienne APAIRE - longtemps Président de la MILDT - car il écrivait des tribunes favorables aux "salles de shoot") est membre du Collège de l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) on peut légitimement s'interroger sur "l'indépendance" intellectuelle et scientifique de cette autorité administrative, qui dirige peu ou prou la Politique Des Jeux de la France. Bien évidemment, les signataires de cette tribune incendiaire mettent en avant sans convaincre la santé publique, pour justifier leur acharnement contre les casinos en ligne, en oubliant de signaler qu'ils sont légalisés dans les 27 autres pays européens (sauf à Chypre) ou aucune pandémie ludique n'a été signalée. Bien qu'elle date de septembre 2023, il nous paraît pertinent de revenir de cette philippique, dans le cadre des débats sur la fin de la prohibition des casinos sur internet, envisagée il y a quelques mois par le gouvernement BARNIER, et sur laquelle le ministre du budget - Laurent SAINT MARTIN - avait engagé une première consultation (confer notre article : Laurent SAINT MARTIN et les casinos en ligne : Fin de la prohibition des casinos et machine à sous en ligne ? Concertation à Bercy à l'initiative du ministre du Budget (les casinos.org 16/11/ 2024,) A cette occasion nous avions observé : 1 : que cette doxa s'opposait à cette légalisation annoncée des casinos en ligne, alors que d'évidence elle s'inscrit dans la modernité d'internet et dans la logique des choses européennes. 2 : que l'Autorité Nationale Des jeux et sa présidente, s'opposaient contradictoirement à cette normalisation, alors qu'elle permettrait de protéger des milliers de joueurs, actuellement livrés à eux-mêmes sur une kyrielle de sites illégaux. L'ANJ publie la longue liste totalement illisible des adresses de ce dark market, ce qui revient d'une manière assez naïve à chercher une aiguille dans une botte de foin. Mais l'ANJ vient de créer soudainement une nouvelle direction... de la "répression" avec à sa tête Sophie NAMER. Cela en dit long sur la fuite en avant autoritaire du régulateur, qui veut limiter, interdire (certains jeux), censurer (certaines publicités), sanctionner lourdement (certains opérateurs...) tout en médicalisant les passions ludiques de millions de Français.
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Prochain article (à paraitre octobre 2025) : « Cobayes ludiques : études sur les joueurs, éthique de la recherche :
Résumé :
- A-t-on le droit d'utiliser des joueurs comme cobayes dans des recherches sur les jeux de hasard, pour tenter de confirmer une théorie concernant le jeu problématique, dont l'hypothèse générique - le jeu comme pathologie, comme addiction - est loin d'être partagée par tous les chercheurs en sciences sociales spécialistes du gambling et du e gambling ? D'autant qu'il ne s'agit pas dans l'étude dont nous parlerons ("Des chercheurs veulent comprendre ce qui se passe dans le cerveau des joueurs" les casinos.org 3/3/2025) d'observer les joueurs dans des espaces de jeu, mais d'ausculter leur cerveau à l'aide d'un IRM. Cette recherche (ainsi que d'autres dont nous parlerons sur les "plis extérieurs du cerveau" - projet Champollion de François MANGIN financé par l'ANR) pose de nombreuses questions éthiques, déontologiques, épistémologiques. Par exemple les joueurs sont payés...et en plus : " de manière différenciée selon leurs performances" ! Cette investigation sur les cerveaux des joueurs, financée par l'INSERM et portée par Guillaume SECSCOUSSE, se présente ainsi : "recherchons 50 joueurs de 18 à 65 ans pour un examen d'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), au cours duquel nous demanderons aux joueurs de réaliser des tâches dans un scanner (environ 2h15) (...) Vous serez indemnisés entre 170 et 230€, en fonction de vos performances. Vous pourrez aussi recevoir une image 3D de votre cerveau. L'étude se déroulera à l'hôpital du Vinatier » Tout un programme et toute une symbolique, "l''espace ludique"(SIC) du Vinatier - ancien asile départemental d'aliénés fondé en I876 - étant un hôpital psychiatrique situé à Bron. Il nous parait indispensable de dire deux mots sur ce type de recherche, qui pose question au sociologue, et devrait en poser aux hommes politiques.
- D'autant que dans le même temps l' Autorité Nationale des Jeux (ANJ) sous la domination de la doxa du jeu pathologie maladie, en remet une couche en matière de surveillance des joueurs en ligne; pour soi-disant lutter contre l'addiction. L'enfer est toujours pavé de bonnes intentions. Le régulateur a affiché à sa une pendant plus de trois mois !! (*) le "wanted" suivant : " Participer à l'évaluation scientifique de l'algorithme ANJ : l'ANJ recherche actuellement des joueurs de jeux d'argent et de hasard en ligne pour participer à une évaluation inédite afin de prévenir des risques d'addiction". (ANJ actualités 7/7/2025)" L'autorité qui a pourtant de gros moyens en interne (80 millions de budget annuel, 80 ETP salariés) finance l'institut de sondage CSA pour mettre au point ce " nouvel outil de REPERAGE" des joueurs. Qu'en pense la CNIL, dont l'ancienne responsable était...Isabelle FALQUE PIERROTIN, actuelle Présidente de l'ANJ. (*) Le gendarme des jeux aurait-il du mal à trouver des cobayes ? Les joueurs, hésiteraient-ils à se faire instrumentaliser, pour ensuite se faire repérer, surveiller, pister, interdire de jeu ?
Articles précédents :
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Quand la doxa du jeu pathologie maladie se déchaine contre les casinos et les machines à sous en ligne pour influencer « les politiques » et « l'opinion » :
Jean-Pierre G. MARTIGNONI-HUTIN
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Deux signataires de ce pamphlet provocateur contre les casinos en ligne participent chaque mois au Collège de l'ANJ.... mais curieusement ne le signalent pas
Dans le présent article, nous revenons sur une tribune polémique parue dans le Figaro - « élargir les jeux d'argent en ligne c'est encourager une drogue » (1) (confer annexe 1) - dont le premier signataire est l'addictologue Jean Michel Costes. Volontairement provocateurs - les machines à sous sur internet sont même qualifiées de « crack-cocaïnes des jeux d'argent ", plusieurs addictologues (psychologues, psychiatres) signent ce pamphlet... comme si la valeur d'une tribune dépendait du nombre de signataires. Cinq personnalités du monde médical (2) dénoncent avec une curieuse virulence - suspecte à nos yeux - les jeux de casino en ligne, les machines à sous sur internet. Ils représentent peu ou prou cette doxa du jeu pathologie maladie que nous dénonçons depuis des lustres dans de nombreuses contributions (3) (4) :
Bien qu'elle date de septembre 2023, il nous paraît pertinent de reparler de cette tribune, dans le cadre des débats sur la fin de la prohibition des casinos en ligne, envisagée il y a quelques mois par le gouvernement BARNIER, et sur laquelle le ministre du Budget - Laurent SAINT MARTIN - avait engagé une première consultation (confer notre article : Laurent SAINT MARTIN et les casinos en ligne", (5)) A cette occasion nous avions obervé :
Deux signataires (6) de cette tribune - enflammée, orientée, subjective, réductrice, méprisante pour les joueurs et les opérateurs - appartiennent au Collège de l'ANJ (7)... mais curieusement ne le signalent pas. Ce manque de transparence interroge. Signale-t-il la modestie des auteurs.... ou leur volonté de masquer ce qui pourrait apparaître comme un conflit d'intérêt ? Ces deux addictologues participent pourtant chaque mois, aux « décisions » du régulateur et à ses nombreuses mesures néo-prohibitionnistes, et désormais parfois directement prohibitionnistes. Dans son collège du 21 Septembre 2023, l'ANJ a prohibé deux jeux de grattage en ligne de la FDJ : « Diamond River » « Maxi Ruche d'Or »
Et de plus en plus souvent d'autres jeux de l'opérateur historique sont autorisés, mais "uniquement à titre expérimental" ( "Maxi black jack» par exemple) ou sont soumis à des conditions d'exploitation toujours plus draconiennes ( Loto du Patrimoine, Mission Nature loto de la biodiversité notamment : confer encadré en gras ci dessous ) que nous taxerons de mesures "néo-prohibitionnistes" car elles s'attaquent de manière pointilleuse, autoritaire et systématique, aux fondements même de ces jeux, à leurs caractéristiques ludiques, à leurs engagements sociétaux.
CENSURE : L'ANJ peut désormais interdire les publicités relatives au Loto du Patrimoine et au Loto de la biodiversité qui feraient référence aux causes d'intérêt général, auxquelles une partie de leur produit est affecté . Le Conseil d'Etat complice de cette censure
S'agissant de la stratégie promotionnelle de la FDJ, le Conseil d'état a confirmé que l'ANJ peut légalement interdire, les publicités relatives au Loto du Patrimoine et au Loto de la biodiversité, qui feraient référence aux causes d'intérêt général . Il s'agit d'une censure. Ces jeux ne sont pas prohibés ( pour l'instant ?), ils peuvent garder leur nom ( pour l'instant ?) mais l'ANJ peut censurer en toute légalité, tout message publicitaire qui indiquerait que le Loto du Patrimoine, le jeu de grattage Mission Patrimoine, la loterie de la biodiversité Mission Nature, sont des jeux qui défendent des causes d'intérêt général. C'est le père Ubu. Ces loteries ont justement été mise en place pour défendre notre riche patrimoine protéger l'environnement, la vie animale et végétale. Bref des jeux qui d'évidence, financent des causes qui défendent l'intérêt collectif. Contradictoirement ( et c'est là qu'on voit toute la « perversité « du régulateur, sous la domination idéologique & intellectuelle de la doxa du jeu pathologie maladie et celle moralisatrice de certaines associations) l'ANJ souhaite que ces jeux perdent leur âme, n'affichent plus leur "raison d'être et la symbolique à laquelle ils sont associés"….pour devenir de simple jeux d'argent. Ne pouvant pas (pour le moment ?) n'osant pas (pour le moment ?) interdire Mission Patrimoine et Mission Nature, l'ANJ dans son machiavélisme, s'en prend à la finalité citoyenne de ces jeux. C'est une grossière censure, inadmissible en 2025, dans un pays démocratique comme la France, sur un sujet non polémique, qui bénéficie certainement d'un large consensus sociétal. C'est inquiétant car quand on commence à censurer, à interdire - dans ce domaine comme dans d'autres - ça n'a pas de fin. Tout fait sens pour le censeur. Derrière cette censure, se cache une tentation prohibitionniste ancestrale : interdire les jeux de hasard et d'argent. ( confer nos deux articles : 1 : « Mission Patrimoine 2023 censurée par l'Autorité Nationale des Jeux = Mission Patrimoine, le jeu citoyen de la Française des jeux à nouveau censuré et mis sous surveillance par l'ANJ) » (juillet 2023, 9 pages, casino-legal-france.fr : « Mission Patrimoine 2023 … malgré les censures de l'Autorité Nationale des Jeu « ( septembre 2023, 14 pages , 7 notes, les casinos.org 16 septembre 2023 ) confer en ANNEXE 3 le résumé) La Française des jeux qui subit de pleins fouets depuis plusieurs années maintenant ces mesures liberticides et restrictives imposées par l'ANJ ( par exemple sur AMIGO) fait preuve d'une grande résilience et s'internationale. Néanmoins quand on regarde son cours de Bourse ( par définition les actionnaires anticipent ) on constate qu'en 5 ans, "FDJ united" est passé de 48 euros à 26 euros, un plus bas historique .
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L'ANJ par ailleurs et dans le même temps, restreint de multiples manières - et de façon de plus en plus délirante - l'indispensable publicité pour les jeux, nécessaire aux opérateurs pour développer leur activité, trouver de nouveaux joueurs, fidéliser les anciens, lancer de nouveaux jeux... Dans ce domaine commercial comme dans d'autres, la publicité est bien entendu le nerf de la guerre. Ces multiples mesures prises par le régulateur contre la "réclame" pour les jeux de hasard, risquent d'avoir - et ont sans doute déjà - des effets dévastateurs sur l'économie ludique. En mars 2022 le gendarme des jeux a même osé interdire une publicité pour les paris sportifs.( Tout pour la Daronne de Winamax) voir ci dessous. L'hypocrite ANJ a beau avoir appelé cela "retrait", il s'agissait bel et bien ( comme pour la chaine de télévision C8 dans le domaine de l'audiovisuel) (**** ) d'une censure, grave & inquiétante, dans un pays de libertés comme la France, ou - historiquement - les censures de publicités, se comptent sur les doigts d'une main. Cette censure apparait d'autant plus choquante, que la pub Winamax,- dynamique, drôle, gentillette..- n'avait rien d'outrageante, d'indécente, de blasphématoire, d'irrespectueuse.
(***)
Censure de la publicité de Winamax : " tout pour la Daronne" : Le fonctionnaire censeur de l'ANJ a été particulièrement choqué par le fait que la Daronne "souriait d'aise »
Retour sur la censure machiavélique et pointilleuse, effectuée par le fonctionnaire chargé d'instruire le procès contre la publicité WINAMAX à la demande du « procureur «ANJ ». Ce fonctionnaire- c'est impossible autrement - a du être longuement débriefé pour lancer un anathème aussi systématique, aussi violent et aussi délirant, contre la publicité bon enfant, joyeuse, colorée de WINAMAX. Mais qui lit les "décisions" de l'ANJ ? Les médias, qui ont perdu tout sens critique, n'ont hélas pas reproduits les éléments de cette censure, qui auraient certainement choqué l'opinion et pas seulement les parieurs sportifs.
Chacun se souvient de la censure de la publicité WINAMAX effectuée par l'ANJ. Une bizarrerie lourde de sens, dans un pays de libertés comme la France, ou les interdictions de publicités se comptent sur les doigts d'une main depuis 50 ans. Après avoir vilipendé, dans une sorte de procès à charge pointilleux & machiavélique ( il faut le lire pour le croire : allez sur le site de l'ANJ si vous pensez que j'exagère!) tous les éléments du film publicitaire de WINAMAX pour les paris sportifs (deux exemples ci-dessous ***) le fonctionnaire « censeur » de conclut son "expertise" - véritable procès en sorcellerie - en indiquant à propos de la Daronne - ce qui semble l'avoir particulièrement choqué - "qu' elle souriait d'aise » Censurer par le régulateur. Manquerait plus que "les pauvres" soient heureux de gagner à des jeux d'argent, se réjouissent de profiter de l'argent du jeu, notamment quand un parieur fait bénéficier sa famille de son gain, en l'occurrence ici sa maman !
***deux exemples =
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Ubuesque : pour certains addictologues dont Jean Michel COSTES - membre du Collège de l'ANJ - les jeux de casino et les machines à sous sur internet.... sont plus dangereux que le crack et la cocaïne !
Nous trouvons dans cette tribune comme premier signataire Jean Michel Costes et, comme curieusement les auteurs ne sont pas classés par ordre alphabétique, sans doute à l'origine de cet article agressif, outrancier, orienté. Pas très étonnant. Il représente l'une des figures emblématiques de cette doxa, constituée historiquement en France à partir de l'expertise Inserm sur "les jeux de hasard et d'argent" (8) à laquelle nous participions (9)Il faut savoir que JM Costes a été licencié de l'observatoire des drogues par Etienne APAIRE (Président de la MILDT de 2007 à 2012) (10) car il écrivait des tribunes favorables aux salles de shoot, d'autres sur la dépénalisation du cannabis. Un engagement militant, aux antipodes du devoir de réserve qui incombe à un agent de l'état. Cet addictologue semble davantage craindre les dangers des machines à sous sur internet, que ceux du crack et de la cocaïne. Inquiétant.
Une doxa du jeu pathologie maladie, omniprésente dans toutes les instances où se décide la politique des jeux de la France
Il y a tout d'abord, le titre provocateur de cette tribune : élargir les jeux d'argent en ligne, c'est encourager une drogue » dont le premier signataire est JM Costes. Un sacré culot pour cet addictologue favorable la légalisation des salles de "consommation » à moindre risque (SCMR) ( l'euphémisme hypocrite de la doxa mais qui en dit long sur ses intentions ) alors que les Académies de médecine et de pharmacie s'y opposaient fortement ( "Drogues dures : «Les Académies de médecine et de pharmacie s'opposent aux salles de shoot !»le figaro, 17 juin 2022, Luc LENOIR) (11) (et sans doute aussi les riverains et les Français qui financent ces couteuses salles de shoot qui bien entendu n'ont pas été consultés)
Ce membre du Collège de l'ANJ et les rédacteurs de cette diatribe, dénoncent ensuite le « lobby très actif des promoteurs des jeux d'argent sur internet ». Pour le coup, c'est vraiment l'hôpital se moquant de la charité. Ces dernières années, c'est surtout le lobbying de la doxa du jeu pathologie maladie (et notamment JM Costes ) qui s'est montré très "actif" , pour critiquer systématiquement tous les jeux de hasard, associer le gambling et le e gambling à une drogue, une pathologie, une maladie; s'imposer dans toutes les instances de décision et de réflexion qui concernent la politique des jeux. De l'expertise Inserm (ou l'on trouve déjà JM Costes); à l'Observatoire des jeux (ou JM Costes a été parachuté « responsable des études » par les "Mystères" des réseaux lobbyistes "de Paris" alors que les trois fondateurs de cet observatoire (12) en ont été exclus) en passant par l' Autorité de Régulation des Jeux en Ligne (ARJEL) ou - suite au départ prématuré de Jean François VILOTTE (1° président de l'ARJEL) - feu Charles COPPOLANI (2° président de l'ARJEL) a fait entrer "le loup" (des addictologues) "dans la bergerie "; pour aboutir à l'ANJ, ou l' on retrouve à nouveau JM Costes dans le Collège de l'autorité, comme par hasard depuis plusieurs années... et pour le mandat le plus long!
Cette doxa, qui cherche sans vergogne ( et peut être avant toute chose) à développer son business*****, s'affiche en permanence dans les médias, qui lui déroulent le tapis rouge sans regard critique reprenant pro domo ses affirmations. Tout dernièrement, en septembre 2025, l'association Addictions France a vilipendé la publicité et le marketing - jugé " agressif" - des opérateurs de paris sportifs. Bien entendu, comme d'habitude, les médias ont repris pro domo cette formulation propagandiste, totalement subjective : "Paris sportifs : un marketing agressif pour attirer les joueurs " ( Le Progrès 16/9/2025 , page 2,3)
***** Dans cet article du Progrès Morgane GUILLO, professeur d'addictologie au CHU de Brest, après avoir critiqué de manière alarmiste les jeux d'argent en ligne en enfonçant des portes ouvertes, en reprenant les éléments de langage de la doxa du jeu pathologie ( " avec les jeux en ligne la perte de contrôle est plus rapide", un véritable cercle vicieux. s'installe avec des pertes financières ..."), ne dit pas combien elle soigne de joueurs chaque année (cela fait sens mais on aurait bien aimé le savoir), avoue benoitement - " c'est très bien lorsque les joueurs demandent de l'aide, car la demande de recours aux soins est très faible " - sans se rendre de la contradiction que cela représente, par rapport à la pandémie ludique qu'elle vient de décrire dont les jeux en ligne seraient à l'origine. Sur cette contradiction qui en dit long sur la doxa du jeu pathologie confer nos articles :
Dans ce même article du Progrès Bernard BASSET & Franck LECAS ( d'Addictions France) ne se contentent de donner leur opinion totalement subjective sur ces jeux et d'enfoncer des portes ouvertes :
Florilèges :
Ils veulent :`
- des mesures encore plus liberticides contre les jeux d'argent notamment en matière de publicité " ( une loi Evin sur le jeu sur le model de celle de I99I qui interdit la publicité pour le tabac et l'alcool) contre les bonus, contre les freebets ( crédits de jeu), contre les offres de bienvenu, contre les codes promotionnels, contre les jeux concours, contre les influenceurs....Liberté j'écris ton nom
- des sanctions pénales : "nous souhaitons pouvoir agir en justice soumettre les contenues des publicités pour les jeu aux autorités et qu'il y ait des suites pénales " précise martialement Franck LECAS responsable du Pole Loi Evin d'addictions France. Bientôt la PRISON pour les opérateurs ?
- interdire - c'est presque drôle mais en réalité c'est très inquiétant - la publicité pour les jeux d'argent "jugé attrayante" , pour au final prohiber toute publicité pour les jeux d'argent. La dernière recommandation de Franck LECAS ( voir citation ci dessous) fait en effet froid dans le dos. Il ne semble même pas se rendre du caractère ultra autoritaire des mesures qu'il veut imposer aux joueurs, aux opérateurs, aux Français ( sans les consulter naturellement) qui violent les principes des régimes démocratiques et des économies libérales. Grave... mais bien dans l'ère du temps. On impose (aux Français et pas seulement aux joueurs) de nombreuses choses dans multiples domaines, de préférence en catimini et surtout sans les consulter : Franck LECAS ( d'Addictions France) précise en ce qui concerne la publicité pour les jeux d'argent : " on souhaiterait partir du principe de l'interdit et n'autoriser les publicités ( pour les jeux d'argent, les paris en ligne , les paris sportifs. NDLC) qu'à titre d'exception "
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Omniprésente dans tous les lieux ou se décide les mesures liberticides contre les jeux d'argent, cette doxa contribue depuis plusieurs années désormais, à définir la politique des jeux sanitaire, punitive & liberticide que poursuit Isabelle FAULQUE PIERROTIN depuis qu'elle dirige l'ANJ. Si, comme le dit JM Costes dans cette tribune, le lobby des pro casinos en ligne avait été très actif », il aurait réussi depuis belle lurette à obtenir la légalisation des casinos et des machines à sous sur internet. Et notamment en 2010 quand certains jeux d'argent ont été autorisés ( paris hippiques et sportifs, poker) La tribune signée au premier chef par cet addictologue, commence donc par un gros mensonge.
Une méconnaisse de la réalité ludique des machines à sous en matière de jackpot
Cette philippique enfonce ensuite avec de gros sabots, les portes ouvertes du sens commun du café du commerce. Citation : « le jackpot est en ligne de mire mais il est rarement atteint » « in fine c'est la machine à sous qui gagne » (13) Quel scoop ! Ces banalités sont connues de tous.
Notamment des joueurs savent pertinemment que le jackpot ne tombe pas à chaque coup. Mais ils constatent aussi que parfois, régulièrement, souvent - contrairement à ce qu'affirme cet addictologue - le joueur triomphe sur la machine, comme en atteste les milliers de jackpots (petits, moyens ou parfois très confortables) qui tombent quotidiennement dans les salles de machines à sous des 200 casinos français ( voir ci dessous). Tout cela est facilement vérifiable, en regardant sur internet les jackpot gagnés ces dernières années, mois, semaines, ou en consultant les sites des groupes casinotiers, pour les milliers de gains intermédiaires gagnés chaque jour dans les établissements de jeu ou sur internet. Les joueurs ne sont pas fous. Si les jackpot ne tombaient jamais sur les slots, les casinos ne réaliseraient pas plusieurs millions d'entrées chaque année, les machines à sous en ligne n'auraient aucun succès. Les taux de redistribution (tdr) des machines à sous et des jeux de casino en général sont en outre nettement supérieurs aux TDR des loteries.
« Un jackpot de 655.875 euros remporté le 30 janvier dernier au Casino Café de Paris à Monaco. Rien qu'en janvier, "17.157.654,43 € de jackpots ont été remportés par 1.918 clients", précise la SBM "Soit plus de 60 gagnants par jour ayant remporté un jackpot supérieur à 1.500€."( Nicematin.com/Thomas Michel, repris par les casinos.org : Jeudi 6 février 2025 : Plus de 17 millions d'euros de jackpots remportés aux machines à sous du Casino Café de Paris rien qu'en janvier à Monaco
« Enghien-les-Bains : il mise 6 euros au casino et remporte le jackpot de 500 000 euros : Un habitué du casino Barrière d'Enghien-les-Bains a misé six euros le jeudi 30 août sur une machine à sous, et a remporté un jackpot historique de près de 500 000 euros. (Le parisien, Christophe lefevre,5 septembre 2024 )
Montant |
Date du gain |
Mise |
Type de |
Nom de |
N° de machine |
15 239 € |
jeu. 15 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
Red Phoenix |
416 |
13 711 € |
mar. 13 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
LIL Night LIFE |
379 |
10 000 € |
mer. 4 juin 2025 |
2 € |
Rouleaux |
Bonus Time |
153 |
10 000 € |
lun. 2 juin 2025 |
1 € |
Rouleaux |
Bonus Time |
213 |
9 346 € |
dim. 11 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
Golden Festival |
302 |
9 189 € |
jeu. 29 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
Panda |
413 |
8 785 € |
sam. 17 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
Rising Fortunes |
406 |
7 973 € |
dim. 11 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
Rising Fortunes |
409 |
6 510 € |
mer. 4 juin 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
LIL Night LIFE |
379 |
5 958 € |
mar. 13 mai 2025 |
0.01 € |
Rouleaux Vidéo |
Wealth of the Dragon |
392 |
Les bandits manchots et les joueurs de machines à sous vus par l'addictologue Jean-Michel Costes membre du Collège de l'ANJ : une vision dantesque, apocalyptique, digne de l'enfer !
Pour lutter contre la légalisation des casinos en ligne, la doxa du jeu pathologique maladie nous sort une nouvelle fois ,sa théorie fumeuse et opportuniste "de jeux particulièrement addictifs »
Bien évidemment, les signataires de cette tribune incendiaire mettent en avant sans convaincre la santé publique, pour justifier maladroitement leur acharnement contre les casinos en ligne en France, alors qu'ils sont légalisés dans la quasi totalité des autres pays européens, ce qui comme par hasard ils ne mentionnent pas. Ils affirment que les jeux de casinos en ligne, et notamment les machines à sous, seraient "particulièrement addictifs" Ils avaient déjà utilisé ce même procédé alarmiste en 2010, en poussant des cris d'orfraies pour combattre la légalisation du poker, des paris hippiques et sportifs sur internet. Grace aux travaux du sénateur François TRUCY, le législateur n'a pas suivi l'avis de ces médecins rétrogrades. Ces trois jeux et paris sur internet ont été légalisés, l'ARJEL installé... ensemble qui a permis d'encadrer le nouveau marché du e gambling. Depuis, à notre connaissance, aucune pandémie ludique n'a été signalée dans notre pays, contrairement à ce qu'annonçaient ces Cassandre.
Pour les casinos en ligne ces addictologues spécialisés dans le business du jeu compulsif ressortent dans cette tribune du Figaro, un argument mensongé plusieurs fois utilisé. " La théorie des jeux d'argent particulièrement addictifs." Les jeux de casinos sur internet seraient des jeux particulièrement addictifs. Stupidité bien entendu indémontrable, reprise pourtant de manière aveugle par les médias et certains hommes politiques. La doxa du jeu pathologie maladie et certaines associations anti jeu comme SOS joueurs, nous ont déjà fait le coup successivement avec :
Les jeux d'argent ont tous été qualifiés de particulièrement addictifs par cette doxa, certaines associations anti jeu et d'autres associations familiales moralisatrices comme l'UNAF. Médias, hommes politiques reprennent souvent cette théorie fumeuse, sans se rendre compte que si tous les jeux sont particulièrement addictifs comme plus aucun ne l'est. Cela remet radicalement en cause cette hiérarchie de la dangerosité supposée des différents jeux de hasard. Une hiérarchie de sens commun qui n'a rien de scientifique. Comme l'a précisé le philosophe Jacques HENRIOT le jeu est neutre, c'est le joueur qui donne sens au jeu). Hiérarchie inventée par la doxa de manière purement opportuniste, pour faire parler d'elle, créer du buzz médiatique, inciter les pouvoirs publics à prendre des mesures toujours plus liberticides, dégager toujours plus de subventions, d'argent public, de postes, d'appel d'offre... pour faire fonctionner l'usine à gaz de la doxa, qui agit dans cette affaire comme un pyromane pompier. C'est d'ailleurs son unique but : des sous...des sous pour la paroisse... de la doxa.
Mauvaise foi, contradiction = JM Coste, les addictologues qui ont signé cette tribune, devraient être très favorable à la légalisation des casinos sur internet, pour aider, informer, protéger - et le cas échéant soigner - les joueurs
Bien entendu les signataires de cette tribune ignorent volontairement peu ou prou les bénéfices - au niveau de l'information et de la protection des joueurs - qu'entrainerait une légalisation des casinos sur internet. Particulièrement contradictoire sur ce registre, ce positionnement prouve leur mauvaise foi car ils affirment par ailleurs que c'est dans les casino en ligne qu'on "trouverait" le plus de joueurs compulsifs. (" 45 % des joueurs de jeux de casino en ligne sont classés comme joueurs excessifs ; ils produisent 65 % du chiffre d'affaires, 80 % si on y ajoute les joueurs ayant des pratiques «à risque» précisent-ils ) JM Coste, les addictologues qui ont signé cette tribune, si soucieux de protéger les joueurs de l'enfer ludique des casinos en ligne, devraient donc être très favorable à la légalisation des casinos sur internet, pour aider, informer, protéger - et le cas échéant soigner - les joueurs qui actuellement ne le sont pas sur le marché noir des sites illégaux qui prolifèrent.
Ces médecins, sans doute incapable de vendre un ticket de grattage à un euro, se permettent de donner des leçons d'économie sur le marché ludique aux opérateurs
Ensuite - contrairement à ce qu'ils affirment en exergue : "nous resterons sur l'argument de santé publique"- les signataires de cette tribune tendancieuse, se permettent de remettre en cause l'existence et la viabilité économique de ce " nouveau" marché des casinos en ligne", qui connait pourtant un grand succès au niveau mondial, une forte croissance, aussi bien au niveau des casinos en ligne légaux, qu'illégaux.
"L'hypothèse de création d'un nouveau secteur d'activité est aussi un leurre". La capacité de dépense des Français dans les jeux d'argent connaît une croissance régulière malgré les périodes de crise, mais elle a ses limites."
On croit rêver. Ces médecins et addictologues sans doute incapable de vendre un ticket de grattage à un euro, se permettent de donner des leçons aux opérateurs sur leur business et sur le marché ludique. Un peu comme quand Isabelle FALQUE PIERROTIN leur demande de manière autoritaire et péremptoire de " changer de modèle économique" en précisant benoitement et naïvement : " il faut plus de joueurs qui jouent moins" Abracadabra
Dans la même veine de l'absurde, ces apprentis sorciers qui contestent l'existence d'un nouveau marché des casinos en ligne; affichent leur volonté d'équilibrer les différentes filière pour justifier la prohibition des casinos en ligne." Il est plus plausible que la prospérité de cette nouvelle filière de jeux se fasse au détriment des autres et qu'elle provoque ainsi un déséquilibre". Que les groupes casinotiers Français ( Barrière, Partouche...) que le syndicat Casinos de France luttent depuis des lustres contre les casinos en ligne, cela peut se comprendre, même si à terme - nous le disons depuis des années - leur position rétrograde n'est pas tenable, notamment quand ils demandent - comme ils le font désormais - que les casinos et les MAS sur internet soient légalisées ...mais uniquement pour eux. Mais quand Isabelle FALQUE PIERROTIN justifie la prohibition des casinos en ligne, pour préserver l'équilibre des filières, on sourit. Et quand cette position est défendue par la doxa du jeu pathologie maladie, là on rigole franchement.
La doxa rétrograde et élitiste est contre la démocratisation des casinos et des machines à sous, qu'autorise la légalisation des casinos sur internet
Dernier point et non des moindres, les addictologues signataires de cette tribune et quelques personnes à Paris en voulant de manière autoritaire (sans consulter les joueurs bien entendu et encore moins les Français) que la prohibition des casinos en ligne perdure, dévoilent une vision élitiste et ethnocentrée. Ils sont contre la démocratisation des casinos et des machines à sous, qu'autorise la légalisation des casinos sur internet. Certes il y a plus de 200 casinos en France. Mais de nombreux français ne peuvent pas, ne peuvent plus, ne souhaitent pas... se rendre dans des établissements de jeu en dur pour différentes raisons. La légalisation des casinos en ligne supprimera les barrières sociologiques, psychologiques, géographiques et démocratisera les machines à sous et autres jeux de casinos sur internet ...que cela plaise ou non. Plus de LIBERTE, plus de concurrence pour les joueurs ce n'est pas négligeable, même si des millions de Français n'iront jamais joué sur internet quand les casinos en ligne seront légalisés. Plus de sérénité également pour les e gamblers qui jouent déjà sur des casinos illégaux, mais préféraient le faire de manière légale pour être certain ne pas se faire pigeonner. Ultime argument et non des moindres , cette légalisation des casinos en ligne constitue la meilleure manière d'assécher le marché gris des casinos illégaux en constante augmentation. Cela explique que la plupart des pays dans le monde les autorisent...sauf pour l'instant la France qui, pour une fois, ne peut pas mettre en avant une exception culturelle pour justifier cette bizarrerie.
Conclusion :
Censurer, interdire, surveiller & punir, sanctionner, prohiber... Le crédo liberticide, bureaucratique, autocratique et kafkaïen, mené par l'ANJ sous la domination objective de la doxa du jeu pathologie, au sein même du Collège de l'ANJ et dans la presse au travers des tribune propagandistes pour faire l'opinion, influencer les politiques, ne peut que mener la Politique des jeux dont la France a besoin dans une impasse, pire dans une débâcle. L'information des joueurs, la protection des mineurs, des personnes vulnérables, des interdits de jeu.... existent déjà depuis longtemps et a été fortement accentué ces dernières années. En faire plus comme le souhaite le régulateur et certains addictologues ( notamment en matière de publicité) ne peut qu'entrainer le secteur dans une spirale infernale et à terme déstabiliser le modèle économique des opérateurs. En attendant les derniers chiffres du gambling et du gambling au niveau mondial, montrent que France arrive bonne dernière du top ten. ( confer ci dessous) En s'opposant à la légalisation des casinos et des machines à sous en ligne de manière rétrograde & anachronique, alors que tous les autres pays européens ont levé cette prohibition d'un autre âge, la doxa du jeu pathologie et l'ANJ - qui agissent de concert et se moquent de l'avenir de l'économie ludique nationale - ne peuvent qu'accentuer cette tendance dans les années à venir, au niveau européen et au niveau mondial.
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INTERDICTION VOLONTAIRE DE JEUX
Toute personne souhaitant faire l’objet d’une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du ministère de l’intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n°2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.