Casino légal en France
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D’après les résultats du projet ENJEU-Mineurs conduit par la SEDAP (société d’entraide et d’action psychologique) avec l’appui de l’Autorité nationale des jeux (ANJ), 348% des 5000 jeunes de 15 à 17 interrogés ont joué au cours des 12 mois précédant l’enquête. Et ce malgré l’interdiction de vente aux mineurs, en ligne comme en points de vente. En parallèle, la part des jeunes joueurs problématiques a fortement augmenté depuis la dernière étude de 2014, et concerne aujourd’hui 12,1% des 15-17 ans. Un chiffre inquiétant.
L’enquête révèle que les jeunes joueurs commencent en moyenne à jouer aux jeux d’argent à 13 ans et 3 mois et ont une forte attirance pour les jeux de grattage. 78,4% d’entre eux en ont pratiqué, contre 48,4% pour les jeux de tirage, 28,3% pour les paris sportifs, ou encore 21,5% pour les paris sur des compétitions e-Sports pourtant non ouvertes aux paris en France. Les paris hippiques et le poker attirent respectivement 17,7% et 17,1% d’entre eux. Les jeux illégaux en France ne sont pas en reste : 17,7% des jeunes interrogés ont déclaré avoir joué aux machines à sous, 16,6% aux autres jeux de casinos et 15,9% placé des paris financiers. A noter que 60,1% d’entre eux pratiques plusieurs jeux, et 50,1% jouent en ligne.
En rapportant ces résultats à l’ensemble des jeunes Français de 15-17 ans, il apparaît qu’au cours de de l’année écoulée, plus d’un quart des mineurs ont pratiqué des jeux de grattage (27,3 % des jeunes), qu’environ un sur six a effectué des jeux de tirage (16,9 %) et près d’un sur dix des paris sportifs (9,9 %).
Selon l’étude, 88,7% des joueurs passent par un point de vente pour jouer, 49,9% de manière exclusive. Toutefois, le jeu en ligne s’est fortement répandu depuis les dernières enquêtes. Si 73,4% des jeunes savent que la vente des jeux d’argent leur est interdite, ils ne le voient pas comme un obstacle. 53,1% déclarent qu’il leur est très ou assez facile de jouer à des cartes à gratter, 24% de participer à des tirages et 20% de miser sur des paris sportifs chez un buraliste. 25,2% estiment que les paris sportifs semblent être les plus accessibles. Pour jouer, les jeunes jouent directement ou indirectement avec leurs parents, voire via leur compte avec leur accord. 86,6 % des jeunes déclarent avoir lu, vu ou entendu des messages publicitaires relatifs à des jeux d’argent dans les médias, et 26,4 % avoir reçu des messages publicitaires lors d’utilisation d’applications de jeux gratuits. La publicité constitue une motivation à jouer pour 32,3 des jeunes joueurs.
Selon l’enquête, 12,9 % des jeunes interrogés sont des joueurs à risque modéré, 21,9 %, des joueurs excessifs. La part des joueurs problématiques a très fortement progressé, passant de 11,0 % à 34,8 %. La prévalence est estimée à 4,5 % de joueurs à risque modéré et de 7,6 % de joueurs excessifs. Cette hausse peut s’expliquer par l’accroissement de l’offre, l’accès à des jeux illégaux et la place croissance d’Internet dans le paysage des jeux en ligne. L’enquête démontre aussi que les comportements à risque des jeunes ne concernent pas les joueurs de tirage ou de grattage, mais reposent plutôt sur une pratique diversifiée qui concerne les jeux en ligne légaux et illégaux. « Le jeu d’argent s’infiltre de plus en plus dans le quotidien des mineurs, relayé par la publicité et par une certaine complicité des parents. En ligne ou dans l’univers physique, combattre le jeu des mineurs est désormais un enjeu majeur de politique publique car, on le sait, plus le jeu d’argent et de hasard est précoce, plus le risque d’addiction est grand, estime Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de l’ANJ. L’ANJ est déterminée à mobiliser tous ses outils pour lutter énergiquement contre ces pratiques, y compris par les sanctions. Il faut aussi que tous les acteurs concernés se mobilisent, parents, opérateurs, réseaux sociaux et pouvoirs publics. »
« Dans un domaine qui s’est beaucoup transformé ces 10 dernières années et où les sollicitations à jouer sont récurrentes voire omniprésentes en période d’événements sportifs, les résultats de l’étude ENJEU-Mineurs soulignent l’urgence et la nécessité d’élaborer des stratégies de prévention psychoéducatives basées sur des programmes probants et validés, abonde Emmanuel Benoit, directeur général de la SEDAP. La fragilité émotionnelle de l’adolescence constitue un terrain favorable à l’instauration de vulnérabilité, ainsi la protection des mineurs doit être une priorité. L’évolution des pratiques de jeu chez les mineurs sont un élément à documenter dans le temps pour effectuer des comparaisons, cette étude devra se renouveler permettant de suivre l’augmentation ou le fléchissement des pratiques. »
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Les jeux d'argent sont interdits aux mineurs.
INTERDICTION VOLONTAIRE DE JEUX
Toute personne souhaitant faire l’objet d’une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du ministère de l’intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n°2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.