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Le PMU : première victime de la politique des jeux sanitaire et punitive de l’ANJ ?
• Sociologue (Université
Lumière, Lyon II)
• Chercheur associé au Centre Max Weber (CMW) UMR 5283 (2016 à 2019)
• Membre suppléant et rapporteur à la Commission Nationale des Sanctions (CNS Paris Bercy) (2013 à 2018)
• Agent de l'Etat Chargé d'étude à l'Autorité de Régulation des Jeux en
Ligne (ARJEL , Paris) (2011 à 2015)
• Observatoire des jeux : Président fondateur de l'Observatoire des jeux ( ODJ) fondé avec Marc Valleur (Directeur du centre Marmottan) et Christian Bucher (psychiatre)
Contact : Jean-pierre.martignoni@univ-lyon2.fr
Résumé : Le Pari Mutuel Urbain (PMU) est en crise. Crise ponctuelle liée à la démission soudaine de la sémillante DG du PMU Emmanuelle MALECAZE DOUBLET ? ( voir photo + article en annexe 7) Crise factuelle provenant d'une « guéguerre en interne » entre les différents protagonistes du monde des courses ? Ou crise plus profonde conséquente de la politique des jeux néo-prohibitionniste menée par l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) et sa présidente sous la domination de la doxa du jeu pathologie maladie ? A ce sujet, l'interview (1) donnée par Isabelle FALQUE PIERROTIN à Sylvain COPIER dans Paris TURF (annexe 2) apparait très inquiétante pour la filière hippique et ses métiers, les turfistes, le monde des courses. Alors que le GIE PMU « s'enfonce dans la crise » (-2% des paris en 2024; -5% pour janvier, février, mars 2025 et -3% en avril mai) la responsable de l'ANJ contradictoirement dans cet entretien en rajoute une forte couche en matière :
assène-t-elle dans une vision moraliste réductrice, ignorant : 1 = la transmission ludique intergénérationnelle (socialisation qui perdure dans la culture populaire, notamment dans le monde hippique, et qui est très importante pour rajeunir la clientèle du PMU, transmettre la culture hippique, l'expérience du turfiste, l'amour des courses et du cheval , dynamiser la fréquentation des hippodromes ) 2 = la socialisation ludique primaire, qu'elle cherche à détruire par tous les moyens dans une sorte de Police des familles d'un nouveau genre, très inquiétante pour le PMU et mais aussi pour la FDJ ( voir les multiples collaborations de l'ANJ avec l'UNAF et notre article « Police des familles : pas de jeux de grattage au pied du sapin avec l’Autorité Nationale des jeux ! « (2) ) (*) (c'est nous qui soulignons ce qualificatif consternant utilisé par la Présidente de l'ANJ pour parler du travail considérable entrepris par le PMU ces dernières années pour moderniser ses espaces de jeu, diversifier son offre, attirer légitimement de nouveaux clients, démocratiser les paris hippiques...)
Alors le PMU première victime de la politique des jeux sanitaire, punitive, liberticide et pour tout dire néo prohibitionniste de l’ANJ ? Ce ne serait pas étonnant car l'institution des course ne pèse par le même poids (en terme de CA, de PBJ , de nombre de joueurs, de fréquentation…) que la FDJ et les casinos. Mais nous verrons que les autres opérateurs ont aussi dû soucis à se faire. Ils vont subir de manière accrue les conséquences de cette politique suicidaire imposée depuis plusieurs années désormais par Isabelle FALQUE PIERROTIN, en collaboration de plus en plus étroite avec la doxa du jeu pathologie, certaines associations ( UNAF, fédération addiction) sans se soucier des conflits d’intérêts. Confer la tribune collective publié dans les Échos ( 1° juillet 2025)« Halte à la banalisation des jeux d'argent ! »La France semble connaître l'âge d'or des jeux d'argent, à la nocivité certaine. Il est cependant possible et indispensable de résister, pour protéger notamment les plus jeunes, plaident les huit signataires de cette tribune » dont l’ANJ.
Un dernier SOS... à Armelle ACHOUR GAILLARD présidente fondatrice de SOS joueurs
Nous profitons de ce dernier article avant la pause estivale, pour saluer la responsable historique et la fondatrice de SOS Joueurs : Armelle ACHOUR GAILLARD partie à la retraite. Nous avons toujours dénoncé les conflits d'intérêts qui liait cette association aux opérateurs; les théories du jeu pathologie maladie qu'Armelle défendait de manière forcément subjective, elle-même femme de joueur problématique. Par ailleurs même si "cette petite entreprise " - qu'a construit Armelle.... (grâce à la FDJ et au PMU...donc grâce à l'argent des joueurs) a sans doute aider des joueurs et leur famille, nous avons toujours considéré - et chacun en conviendra - que ce n'est pas à une petite association parisienne de définir peu ou prou la Politique des Jeux de la France (qui concerne des filières économiques, des entreprises, des milliers d'emplois des millions de joueurs) ou de contribuer à prohiber un jeu (Rapido, devenu ensuite Amigo ne s'est jamais remis de cette interdiction à laquelle a activement participé SOS joueurs avec la complicité de quelques députés. Néanmoins, nous gardons un bon souvenir de nos premières rencontres à Paris au CREDOC avec Armelle. Au début les intentions étaient "pures"…. Bonne "retraite" Armelle...et ne joue pas trop pour "l'arrondir", tu serais obligé de contacter.... SOS joueurs, l'œuvre de toute ta vie.
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Le Pari Mutuel Urbain (PMU) s'enfonce dans la crise : ‘ ANJ responsable mais pas coupable
Le Pari Mutuel Urbain (PMU) s'enfonce dans la crise suite :
La presse généraliste et spécialisée, a largement fait écho à ce marasme inquiétant que traverse l'institution des courses :
Quelques mots sur cet article du Canard sorti dernièrement, pas très sérieux, moqueur, ethnocentré... mais qui apporte néanmoins quelques informations. Le palmipède commence par s'en prendre longuement au Parisien pour son article "Rien ne va plus au PMU" (7 juin 2025) qualifié - de manière élitiste et ethnocentrée- de "quotidien favori des amateurs de bistrots de la capitale" (...) Le Canard se moque ensuite de ce quotidien "qui ne compte pas moins de 4 pages ou sont détaillés les programmes des courses, dans des tableaux incompréhensibles pour les non turfistes" Il vilipende dans la foulée le groupe LVMH, propriétaire du Parisien (Il faut savoir que Bernard ARNAULT, président de LVMH , est la tête de turc anti riche permanente du Canard.). A écouter le Palmipède, si le Parisien - un journal populaire - a fait la une avec « la crise du PMU », ce serait pour préserver ses ventes. Réducteur et simpliste. Heureusement l'hebdo du mercredi, reprend ensuite quelques informations plus sérieuses :
L'interview inquiétante donnée par Isabelle Falque-Pierrotin à Sylvain COPIER dans Paris TURF
Ces éléments méritent d'être portés au dossier mais ne sont pas suffisant. Toute la question est de savoir si cette crise est factuelle et provient- outre la démission d' Emmanuelle Malecaze-Doublet - d'une simple « guéguerre en interne » comme l'a titré le Parisien (4 ) ou trouve son origine dans une crise sociologique et socio-économique plus profonde, fortement accentué par la politique des jeux néo prohibitionniste menée par l' Autorité Nationale des Jeux (ANJ)? Certes, ce n'est pas la première fois que le Pari Mutuel Urbain connait de genre de crise (moins de parieurs, baisse des mises, difficultés pour féminiser et rajeunir sa clientèle, attirer de nouveaux clients; moderniser son image vieillotte...) qui a souvent jalonné l'histoire du PMU. Mais celle-ci se prolonge et apparait assez inédite car les choses ont changé. L'ANJ multiplie depuis plusieurs années désormais les mesures réglementaires accompagné d'un discours moraliste et sanitaire anti jeu. Tour cela n'est pas sans conséquences. Et il ne serait pas étonnant que ce soit "le maillon faible" du secteur des jeux le PMU qui soit le plus sensible au gambling bashing effectué par l'ANJ et sa Présidente.
A ce sujet l'interview donnée par Isabelle Falque-Pierrotin à Sylvain COPIER dans Paris TURF mérite qu'on s'y attarde. Cet entretien apparait très inquiétant pour la filière hippique et les turfistes. Alors que le GIE PMU« s'enfonce dans la crise », la Présidente de l'ANJ - qu'on sent un peu gênée aux entournures - ne trouve rien de mieux contradictoirement, que d'en rajouter une couche en matière :
Faute avouée….. Isabelle FALQUE PIERROTIN : « l’hippique représente 12 % en part de marché …. alors que c’était 20 % à mon arrivée à l'ANJ »
Dans cette interview la Présidente commence par dire benoitement sans se rendre compte des conséquences qu’on pourrait légitimement en tirer : « l’hippique représente 12 % en part de marché …. alors que c’était 20 % à mon arrivée à l'ANJ » . De manière toute aussi surprenante elle explique la décroissance du PMU de la manière suivante : 1 : Le profil du joueur hippique est frappé de plein fouet par la crise économique ; 2 : les stratégies marketing à son encontre sont moins efficaces. ; 3 : L’offre hippique s'est très peu renouvelée avec des nouveaux paris. Bref c’est de la faute à la crise et de la faute au PMU. De manière toute aussi contradictoire la présidente affirme : : « C'est le segment le plus délicat du marché : l'offre et la clientèle stagnent, voire régressent. « Dans ce segment, il y a aussi le volet de l'alimentation de la filière via les paris ce qui nécessite qu'il faut avoir une vision globale pour ménager les équilibres. (…)L'environnement économique n'est pas porteur pour les opérateurs hippiques alors que le France, avec cet univers, dispose d'une véritable pépite. On essaie d’aider la filière à trouver des solutions". Mais que propose-t-telle pour préserver "les équilibres de cette filière », conserver "cette pépite", relancer le PMU, trouver de nouveaux joueurs ? Elle veut identifier les turfistes ! alors que l’anonymat et le paiement en cash fait partie depuis des lustres de la culture du turf. La Présidente précise en outre que cette identification, cette perte d'anonymat ne doit pas bénéficier au joueur et au PMU : " l'identification en points de vente ne doit pas se traduire par une intensification trop importante des bonifications »
Isabelle FALQUE PIERROTIN« Je ne suis pas une spécialiste (du monde hippique, du PMU, des courses, des turfistes NDLC) mais ce que j'entends ….» !!!!
Tout est à l’avenant dans cet entretien très inquiétant pour l’avenir de la filière hippique que visiblement Isabelle FALQUE PIERROTIN connait mal. Elle précise d’ailleurs à un moment en réponse à une question de Bertrand Coltier sur les paris à cote fixe : « Je ne suis pas une spécialiste, mais ce que j'entends » Elle termine cet entretien par une diatribe moraliste classique anti jeu sur les jeux d’argent : « Moi, je pense que le marché du jeu d'argent est un marché d'offres. On voit qu'il est très dynamique dans son ensemble, que le nombre de joueurs excessifs est en train d'augmenter et que par ailleurs, il y a une sorte de banalisation du jeu d'argent qui s'inscrit dans l'esprit des gens. Je suis frappé par le nombre de joueurs qui sont persuadés qu'ils vont améliorer leur quotidien grâce aux jeux d'argent. » On ne peut qu’être étonné par de tels propos provenant de la responsable peu ou prou de la politique des jeux de la France en matière de jeux d’argent. Une chose est certaine le marché des jeux risque d’être de moins en moins dynamique et cela ne concerne pas que les paris hippiques.
La FDJ un avenir incertain à cause de l’ANJ
Pour la FDJ certes, contrairement au PMU, tout va bien pour elle.... du moins en apparence. Mais comme nous allons le voir, les apparences sont sans doute trompeuses. Il faut dire que ce "mastodonte" (comme l'a qualifié une fois Isabelle FALQUE PIERROTIN et c'était pas un compliment à ses yeux, la présidente de l'ANJ fait tout pour dégraisser le "mammouth FDJ"), pèse son poids (voir dessous*). Principale raison : l'opérateur historique dirigée depuis 2014 par une femme d'expérience (5) - Stéphane PALLEZ - dispose encore :
(*) La FDJ en quelques chiffres (année 2024) (6)
Nous avons déjà signalé ces derniers mois dans de nombreuses contributions, qu'un grand nombre de nuages assombrissent le présent et surtout l'avenir de la FDJ à cause la aussi de la multitude de mesures liberticides pointilleuses prises par l'ANJ à l'encontre de l'héritière de la Loterie nationale.
Contraintes néo prohibitionnistes (et même parfois directement prohibitionnistes, certains jeux de grattage ont été purement et simplement interdits par le régulateur) dans tous les domaines qui ne peuvent - doucement mais surement - que nuire très fortement à l'opérateur historique et, à terme, totalement déstabiliser et même détruire son "modèle économique". C'est ce que souhaite d'ailleurs la "magicienne" Isabelle FALQUE PIERROTIN, qui a LA solution pour mettre en place un nouveau modèle économique. Elle veut - avec sa baguette magique et sa poudre de perlimpinpin - que les opérateurs trouvent : " plus de joueurs qui jouent moins". Surréaliste, ubuesque et pas sérieux. Confer notre article : « Isabelle FALQUE PIERROTIN - la Présidente de l’Autorité Nationale des jeux (ANJ) - prône une économie ludique punitive, restrictive, sanitaire & liberticide, sur les ondes de Radio France* (7)
Résumé de cet article = La patronne de l’Autorité Nationale des jeux (ANJ) a expliqué de manière un peu ubuesque sur France Inter (30 avril 2024, le journal 13/14) : aux opérateurs de jeux d’argent comment ils doivent métamorphoser leur modèle économique : « plus de joueurs qui jouent moins » ; aux joueurs pourquoi ils doivent jouer : uniquement « pour le plaisir » mais surtout pas pour gagner de l’argent, améliorer l’ordinaire, décrocher le gros lot, changer de vie. Elle veut par ailleurs interdire, limiter, bannir, la publicité pour les jeux. Pour la responsable de l’ANJ, la Française des jeux (FDJ) est « un mastodonte ». Elle veut dégraisser le mammouth, pour pas que les autres opérateurs « surstimulent le joueur » Retour critique sur cette interview inquiétante pour l’avenir de l’industrie des jeux en France. Face au sombre dessein du régulateur et de la doxa du jeu pathologie maladie, il est plus que jamais nécessaire que les opérateurs fassent entendre leur voix (le syndicat Casinos de France vient de nommer un nouveau Président Grégory RABUEL ) que les joueurs, unique financeurs de cette économie, participent à la politique des jeux nationale afin qu’elle ne se fasse pas dans leur dos et sur leur dos.
Reprenant aveuglément des chiffres de 2019 de la doxa du jeu pathologie maladie - statistiques contestées scientifiquement et épistémologiquement car basées sur la taxinomie et le questionnaire du DSM, manuel controversé de la psychiatrie américaine établi par l’APA(3) - la Présidente de l’ANJ a ensuite affirmé, qu’il y avait « 400 00O joueurs excessifs qui relèvent de la pathologie, du suivi par une consultation d’addiction » et même « d’un traitement psychiatrique ou médicamenteux » . Dans une sorte de diktat, la gendarme du jeu donne trois ans aux opérateurs (casinos, FDJ, PMU, jeux en ligne, clubs de jeu) pour se débarrasser de ces malades du jeu… qui génèrent 21% du Produit Brut des Jeux (PBJ).
De manière tout aussi hasardeuse, Isabelle FALQUE PIERROTIN (IFP) a indiqué qu’il y aurait « 1,4 million de joueurs problématiques « qui génèrent 38 % du PBJ. Nous avons depuis longtemps signalé - (MARTIGNONI-HUTIN (2011) : « Le jeu excessif est-il vraiment pathologique ? » et encore récemment (MARTIGNONI-HUTIN( 2022) « »Le jeu excessif est-il une addiction ? » ) - le danger scientifique qu’il y avait, d’aborder les jeux d’argent à travers la problématique de l’addiction. Car une fois acceptés comme entité́ morbide individualisée, ces jeux sont analysés comme des formes plus ou moins aiguës de jeu pathologique.
Pour tenter de justifier ces chiffres de millions de personnes drogués du jeu, la Présidente de l’ANJ a précisé : « nous avons des indicateurs indiquant que le pourcentage de joueurs excessifs augmente…. » Et la responsable de l’ANJ d’ajouter benoitement - sans se rendre compte de l’énormité du différentiel vis à vis des chiffres précédents - qu’il y avait « 70 000 interdits de jeu » Le site officiel Data. Gouv comptabilisait lui 46 000 interdits en 2022. Mais même si l’on prend la fourchette haute d’Isabelle FALQUE PIERROTIN, que représente 70 000 interdits pour une population de plus de 30 millions de joueurs ? Un épiphénomène, comparé aux chiffres propagandistes véhiculés depuis des années par la doxa du jeu pathologie maladie & certaines associations parisiennes, de « 400 00O joueurs excessifs et de« 1,4 million de joueurs problématiques «
En outre, le fait que « la maladie du jeu « semble curieusement « avoir du mal à trouver ses malades…. » (confer nos articles : MARTIGNONI (2019): » L’addiction au jeu : une drôle de maladie qui a du mal à trouver ses malades « - MARTIGNONI (2020) : «Recherche joueurs addicts…. désespérément » ) corrobore le fait que ces chiffres cités par la patronne de l’ANJ sont approximatifs, mensongers ?, flous. Et comme chacun sait : quand c’est flou…. En réfléchissant à ce brouillard qui entoure le jeu addictif ( définition, nombre de joueurs concernés, maladie du jeu qui a du mal à trouver ses malades. ..) qui permet à la doxa toutes les manipulations, nous nous sommes souvenus d’une phrase relevée dans un ouvrage scientifique critiquant le DSM. Elle disait ceci : »avant de soigner les malades, il faut vendre la maladie »
Pour compléter sa politique des jeux sanitaire & liberticide, la responsable de l’ANJ a ensuite souligné sur France Inter, qu’elle voulait limiter, bannir, prohiber, censurer… la publicité pour les jeux. Triste ironie de l’histoire, pour l’ex responsable de la CNIL (commission nationale de l’informatique & des LIBERTES ) un seul mot d’ordre : INTERDIRE. Citation d’Isabelle FALQUE PIERROTIN : « La publicité ( pour les jeux d’argent NDLC) est un levier d’action très intéressant pour nous, (…)des pays font des choses intéressantes, ils interdisent la publicité (pour les jeux d’argent NDLC) comme en Italie, d’autres pays interdisent la publicité pour les paris sportifs avant match, pendant le match après le match ; d’autres interdisent la publicité numérique (pour les jeux d’argent NDLC)»
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Stéphane PALLEZ a parfaitement compris que les diktats réglementaires bureaucratiques, imposés par le gendarme des jeux montaient chaque jour en puissance
Les conséquences de l'activisme du régulateur de plus en plus sous la domination de la doxa du jeu pathologie maladie qui grossit chaque jour davantage, apparaissent déjà dans certains chiffres. Armelle ACHOUR FAILLARD (voir encadré en début d'article) peut partir à la retraite avec le sentiment du devoir accompli, Isabelle FALQUE PIERROTIN a poursuivi le travail de destruction du jeu Amigo ( ex Rapido). Il baisse encore de - 25 % en 2024, suite à l'application par la FDJ des nouvelles règles.... fixées par le régulateur. Plus largement,
En affichant en permanence sa volonté de lutter contre le jeu compulsif;
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Conclusion
Tous ces dossiers consacré aux jeux d’argent et nos analyses montrent toute l'ambivalence contradictoire dans laquelle s’enfonce la FDJ, à cause de la politique anti jeu menée par Isabelle FALQUE PIERROTIN et le Collège de l'ANJ, ou sévit depuis des années et pour le mandat le plus long l'addictologue Jean-Michel Costes, bien connu pour son avoir écrit des tribunes provocatrices promouvant les salles de shoot avant même qu'elles n'existent et qui désormais publie des tribunes provocatrices néo-prohibitionnistes sur les jeux d'argent; les casinos et machines à sous en ligne…. Notre prochaine contribution sera consacrée à une tribune publiée dans le Figaro par JM Costes , membre du Collège de l’ANJ : « Élargir les jeux d’argent en ligne, c’est encourager une drogue »
(***) Une étude pour mieux connaitre les pratiques des joueurs et le niveau de risque associés aux jeux de grattage ( anj 10.07.2025) résumé ci-dessous, étude complète ci-joint : « Étude sur les jeux de grattage en France : Portrait des habitudes de jeu et analyse de l’attractivité́ et des risques associés aux jeux de grattage (Sylvia Kairouz ; Département de sociologie et d’anthropologie Université́ Concordia ; Annie-Claude Savard ; École de travail social et de criminologie Université́ Laval ; Jean-Philippe Laforge ; Chaire de recherche sur l’étude du jeu Université́ Concordia ; Mélanie Rose Dixon ; Chaire de recherche sur l’étude du jeu Université́ Concordia (23 Juin 2025 , 200 pages)
Télécharger Le PMU : première victime de la politique des jeux sanitaire et punitive de l’ANJ ?
31 août 2025 — Le PMU : première victime de la politique des jeux sanitaire et punitive de l’ANJ ? PAR Jean-Pierre G. MARTIGNONI-HUTIN ...
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INTERDICTION VOLONTAIRE DE JEUX
Toute personne souhaitant faire l’objet d’une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du ministère de l’intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n°2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.