L'histoire d'Old Skool Studios

Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir l'histoire de l'éditeur vidéoludique Old Skool Studios.

Un créateur d'expériences

Avant de porter son nom actuel, l'entreprise se nommait LM Design Werks. Fondée en 2010 à Vancouver, cette startup canadienne n'est pas spécialisée au départ dans le développement de machines à sous virtuelles. Elle travaille sur des projets externalisés pour plusieurs firmes, telles que Rocket Gaming, Zynga ou EA.

Il faut attendre 2014 et le succès du jeu "Epic City" pour que la société adopte le nom d'Old Skool Studios. Elle procède alors à un changement d'orientation et c'est à partir de cette date que son histoire de fournisseur de machines à sous virtuelles commence réellement...

"Notre slogan est le suivant : Nous ne créons pas que des jeux, nous créons des expériences", expliquera plus tard Mike McGraw, le PDG d'Old Skool Studios. "En examinant les franchises de jeux vidéo les plus populaires, vous constaterez que leur succès est dû à leur capacité à plonger les joueurs dans un univers captivant avec un scénario bien ficelé. Lorsque notre entreprise a vu le jour, nous avons remarqué que les jeux d'argent, plus précisément les machines à sous, négligeaient cet aspect. Nous y avons donc vu un moyen de nous démarquer de la concurrence. Voilà pourquoi nous faisons tout notre possible pour développer des titres qui offrent aux joueurs des expériences immersives basées sur une histoire solide."

Toujours en 2014, "Epic City" est distribué sur les plateformes Odobo, Bet365 et Unibet.

L'éditeur conclut aussi un partenariat avec Lost World Games pour coproduire le jeu "King of Kaiju : Rampage Riches", une machine à sous en ligne qui rend hommage aux films de monstres japonais.

En 2015, le fournisseur s'associe aux opérateurs Mr Green, Gala Casino, Prospect Hall, Coral Casino, Leo Vegas et BetMotion afin que ces derniers distribuent "Epic City" sur leurs sites web.

En avril, il travaille avec IGS sur les graphismes et les animations d'un nouveau jeu de vidéo poker destiné à la plateforme Casino Cruise.

En septembre, l'entreprise participe au salon Global Gaming Expo (G2E) qui se déroule à Las Vegas.

En 2016, Odobo est contraint de fermer ses portes. Old Skool Studios perd ainsi un important collaborateur qui distribuait ses jeux depuis presque trois ans.

Doucement, mais sûrement...

En 2017, l'éditeur figure parmi les participants au célèbre salon ICE qui se tient chaque année à Londres.

En mai, il lance "La Rouge", une machine à sous inspirée de la bande dessinée "Sin City" de Frank Miller et des polars en noir et blanc américains des années 50.

En août de la même année, il produit ensuite "Jewel Quest Riches".

En 2018, Old Skool Studios lance son quatrième jeu baptisé "Temperance". Le titre, qui mêle univers steampunk et monde aquatique, est proposé en exclusivité sur la plateforme Quickfire de Microgaming.

En 2019, la société conclut un partenariat avec RNG Foundry. Cette plateforme finance la production de certains de ses titres et l'aide à trouver des distributeurs.

En 2021, le fournisseur lance deux nouvelles machines à sous virtuelles : "Maui Mischief", qui s'inspire de la mythologie polynésienne, et "Ascension : Rise to Riches" qui est basé sur l'Égypte ancienne.

En novembre, Games Global rachète le catalogue de jeux de Quickfire dont font partie certains titres d'Old Skool Studios.

Le dernier titre de l'éditeur canadien est sorti en septembre 2022. Baptisé "6 Rubies of Tribute", celui-ci s'inspire de la culture aztèque.

Le studio compte aujourd'hui quatorze employés, sept machines à sous virtuelles produites en tant qu'Old Skool Studios et onze jeux de casino développés sous son ancienne marque LM Design Werks.